Le p’tit cri du steel
Le p’tit cri du steel vous propose un répertoire varié de musiques traditionnelles, composé de calypso, salsa, soka mais aussi de musique classique ou de variétés.
Le p’tit cri du steel vous propose un répertoire varié de musiques traditionnelles, composé de calypso, salsa, soka mais aussi de musique classique ou de variétés.
A la demande de la municipalité, le « VIPERES ASSASSINES fan-club », sept femmes aussi enthousiastes qu’exaltées, donne un spectacle inaugural en l’honneur de leur idole, Quentin Tarantino. Seront-elles à la hauteur de l’attente de David Furgé, directeur du service culturel ?
« Toutes les scènes cultes de la filmographie de Tarentino défilent sur scène avec ces sept filles […] et on se retrouve face à une comédie musicale de poche totalement déjantée. En sortant de là, on a une furieuse envie d’enquiller la bande originale de Pulp Fiction dans l’autoradio ! » L’Alsace
Balade pour un tueur, un élastique et une strip-teaseuse. Sans un mot mais armés d’un cadre en bois, et d’accessoires bricolés, ces deux personnages, l’un buté et l’autre clopinant, se démènent pour vous faire revivre les plus grandes scènes du cinéma. Aventure, humour et suspense sont les ingrédients inévitables d’un bon polar : «Meurtre au motel». Vous assisterez aux coulisses du spectacle en même temps qu’à sa représentation : les images apparaissent comme le résultat d’une alchimie faite de mime, de chorégraphies d’objet et de bruitages.
« Avec seulement un panneau et quelques accessoires, la Cie Bris de Banane entraîne le public dans un univers loufoque oscillant perpétuellement entre bande dessinée et grand classique du cinéma ». L’humanité
Patrick Ingueneau chante en solo ses chansons et nous emmène dans un univers de fantaisie folle, de poésie décalée et d’humour absurde. Rubato comme une ligne de mire (Rubato : mouvement libre en musique classique) ; mêlant musique et théâtre, une dose de décalage, un goût pour l’absurde, un pas de côté, et l’humour comme un tremplin à la poésie et aux émotions divergentes. Patrick Ingueneau y joue du Rhodes (Piano électrique des années 70), et d’autres instruments inédits… Des questions ?